La nuit, au calme, a été très bénéfique. On a vraiment bien dormi, beaucoup mieux que ce que l'on craignait. Mais le réveil ce fait en urgence.
Debout à 8H, on sort pour prendre l'air, et on découvre que les déménageurs sont à la porte de la maison. Pourtant, ils devaient nous appeler hier soir pour caler l'heure d'arrivée.
Bref, pas de petit déjeuner, de toute façon, on n'a toujours pas d'électricité... Marius part à la boulangerie à pied (2.5 km) et ramènera les croissants.
Les déménageurs sont septiques quand ils voient la maison, autant que nous quand nous voyons le camion et la remorque. Comment faire rentrer les 200 m² de St Georges dans les 120 m² d'Olivet. En plus, les rangements ne sont pas montés, et les meubles et étagères sont dans le fond du camion. On ne pourra donc commencer à ranger que quand tout sera vidé.
Et pour simplifier le tout, on a condamné la chambre de Margaux pour isoler Lily. Elle est toujours shootée, et a passé la nuit au fond de la couette. Elle y restera toute la journée, sans bouger, sans chercher à sortir. Le médicament a fait son effet, un peu trop même, car il ne devait faire effet que 12 H. Il fera effet 48 H !
Résultat du vidage du camion :
- la salle à manger est en place (table, canapé, buffet, bibliothèque)
- tous les vêtements sur cintre (5 dressing) sont sur le canapé
- les affaires de Margaux sont dans notre chambre
- les affaires de Marius sont dans sa chambre
- le double garage stocke la sono, les vélos, les tondeuses, les 150 cartons restant, la machine à laver, le sèche linge, le congélateur...
Bref, quand les déménageurs partent dans l'après-midi, on se demande par quel bout commencer. Mais point positif, l'appel de l'EDF ce matin a été efficace, et l'électricité est revenue en début d'AM. On va donc pouvoir couper les hauteurs du dressing et commencer à monter les meubles.